« Tomber en amour ». Que c’est bien dit. On magasine, on s’assemble, on s’enracine, on s’entre-cendre. J’tourne autour du pot, c’que j’veux dire, c’est qu’en c’moment, toi et moi, on monte pas l’amour -on l’descend.
J’te place sur un piédestal, tu m’dis c’est haut, on escalade, je t’assure, de v6 à v2. diamant à l’amiante, de l’homme à l’aimant monter sans tomber, Prière philosophale. Ou bien, un jeux d’chance. il y’a six faces au dé, et deux moitiés-moitiés, un jeu d’rôles, comédie, je fais, comme-elle-dit.
J’entends « Mask Off » de Future. Il a perdu la tête. Autant brasser le dé et d’espérer un sept. j’préfère imaginer, le bon chiffre à donner, que d’montrer mes cartes. Mais bon, qu’est-ce qu’on peut perdre? Monopolie, monogamie, duofolie, amène-moi loin d’ici. Casse-tête, on s’dit, mieux vaut perdre à deux, et r’coller des bouts, que d’jouer en solo. On s’est rendu fou, mauvais perdant. ou plutôt, j’ai perdu assez d’temps, j’caché le dé, je me laisserai pu tomber.